Lecture-performance sous forme de monologue, La loi du plus fort décrit l’attraction irrésistible de la narratrice pour les magasins Migros ou tout autre centre commercial.

Désireuse d’en finir avec sa maladie consumériste, la narratrice consulte une psychologue, spécialiste en supermarché cognitif ; celle-ci lui prescrit visites de monuments, expositions et éloignement de tout commerce.

D’échecs en échecs, les pérégrinations de Marielle Pinsard offre une vision urbaine onirique et ironique, une lecture guidée de la ville dans laquelle le projet est présenté.

La loi du plus fort est adaptée à la ville de représentation. Outre le travail de réécriture du texte pour chaque nouveau lieu, un vidéaste, résident de la ville, est associé à chacune de ces lectures-performances, pour la captation d’images projetées lors de la représentation.